La bonne série de l’équipe réserve
a pris fin cet après-midi sur la grasse pelouse du Stade Delaitre. En
marquant d’entrée de jeu, Strasbourg a contraint les hommes de
Francis De Taddeo à courir après le score. Dès la sixième
minute, l’attaquant alsacien Mathlouti était stoppé irrégulièrement
par Nonke. Son compère, le numéro dix Krebs, convertissait la
sentence (0-1, 6°). Cette ouverture du score donnait le ton de la rencontre,
ses deux responsables en étant les principaux animateurs côté
strasbourgeois.
Les Mosellans se lancèrent donc dans une course-poursuite malheureusement
sans fin. Ils faillirent revenir au score à la faveur des coups de patte
de Rolandi. Le plus précis d’entre eux atterrit sur le poteau et
Françoise ne parvint pas à en profiter (40°). Bien qu’il
laissait le ballon à son adversaire, le Racing n’en était
pas moins dangereux en contre. Mathlouthi, toujours lui, manquait sa reprise
de la tête (37°). Par contre, sa surprenante frappe lointaine ne devait
rien à personne (0-2, 45°).
Metz, qui semblait posséder
un jeu collectif de meilleure facture, pêchait là où son
adversaire excellait : l’efficacité. Le trait s’accentua lors d'une seconde période où les Lorrains monopolisèrent le ballon sans pour autant parvenir à déstabiliser leur adversaire. Sevré de véritable
attaquant de pointe à aligner aux côtés de Gestede, Francis
De Taddeo tenta de lancer Ou puis Farina. Mais le Sud-Coréen, de retour
du Qatar où il a participé à un tournoi international,
manquait de rythme. De même que le second entrant, qui revient de blessure.
Les occasions furent donc peu nombreuses et le score ne bougea plus. «
Le 2-0 a été un coup de poignard, témoigne le coach mosellan.
Avec deux buts d’écart, cela devenait trop compliqué. Si
nous étions revenus à 2-1, peut-être que la tendance se
serait inversée. Ensuite, le temps a joué pour Strasbourg et ils
ont plutôt bien défendu. De plus, nous n’avons pas toujours
été très méthodiques dans nos offensives. »
Dès ce week-end, les Grenats ont l’occasion d’effacer le
goût amer de cette défaite. Ils se déplacent à Schiltigheim,
un concurrent au maintien qu’il s’agit d’écarter. Une
victoire leur permettrait de passer une fin de saison tranquille.
a pris fin cet après-midi sur la grasse pelouse du Stade Delaitre. En
marquant d’entrée de jeu, Strasbourg a contraint les hommes de
Francis De Taddeo à courir après le score. Dès la sixième
minute, l’attaquant alsacien Mathlouti était stoppé irrégulièrement
par Nonke. Son compère, le numéro dix Krebs, convertissait la
sentence (0-1, 6°). Cette ouverture du score donnait le ton de la rencontre,
ses deux responsables en étant les principaux animateurs côté
strasbourgeois.
Les Mosellans se lancèrent donc dans une course-poursuite malheureusement
sans fin. Ils faillirent revenir au score à la faveur des coups de patte
de Rolandi. Le plus précis d’entre eux atterrit sur le poteau et
Françoise ne parvint pas à en profiter (40°). Bien qu’il
laissait le ballon à son adversaire, le Racing n’en était
pas moins dangereux en contre. Mathlouthi, toujours lui, manquait sa reprise
de la tête (37°). Par contre, sa surprenante frappe lointaine ne devait
rien à personne (0-2, 45°).
Metz, qui semblait posséder
un jeu collectif de meilleure facture, pêchait là où son
adversaire excellait : l’efficacité. Le trait s’accentua lors d'une seconde période où les Lorrains monopolisèrent le ballon sans pour autant parvenir à déstabiliser leur adversaire. Sevré de véritable
attaquant de pointe à aligner aux côtés de Gestede, Francis
De Taddeo tenta de lancer Ou puis Farina. Mais le Sud-Coréen, de retour
du Qatar où il a participé à un tournoi international,
manquait de rythme. De même que le second entrant, qui revient de blessure.
Les occasions furent donc peu nombreuses et le score ne bougea plus. «
Le 2-0 a été un coup de poignard, témoigne le coach mosellan.
Avec deux buts d’écart, cela devenait trop compliqué. Si
nous étions revenus à 2-1, peut-être que la tendance se
serait inversée. Ensuite, le temps a joué pour Strasbourg et ils
ont plutôt bien défendu. De plus, nous n’avons pas toujours
été très méthodiques dans nos offensives. »
Dès ce week-end, les Grenats ont l’occasion d’effacer le
goût amer de cette défaite. Ils se déplacent à Schiltigheim,
un concurrent au maintien qu’il s’agit d’écarter. Une
victoire leur permettrait de passer une fin de saison tranquille.
La feuille de match
Metz 0-2 Strasbourg
Mercredi 8 février, Stade Delaitre à Marly
Arbitre : Monsieur Badet
Buts :
Strasbourg : Krebs (6° sp), Mathlouthi (45°)
Avertissements :
Metz : Gueye (25°), Turnau (56°), Schmisser (90°+5)
Strasbourg : Alcino (70°), Schneider (84°)
Les équipes :
Metz : Mayebi – Fernandes (Drogba 81°), Schmisser, Nounken, Anton
– S. Gueye, Rolandi, Stelletta (Ou 51°), Turnau – Françoise,
Gestede (Farina 71°)
Strasbourg : Sennaoui – Celestini, Weber, Assami, Tritz – Alcino
(Grimm 85°), Schneider, De Jong, Krebs – Mathlouthi (N’Diaye
90°), Gasmi (Zimmer 84°)