joueurs ce matin ? Les avez-vous senti abattus ?
Grégory Proment : Non. Nous étions abattus samedi
et dimanche. Désormais, nous nous tournons vers la rencontre suivante.
De toutes façons, nous ne pouvons pas revenir en arrière et il
faut se tourner vers le futur. C’est samedi, à Caen, un gros match.
Place maintenant au travail et à la préparation de cette échéance.
Avez-vous pris la parole, en
tant que capitaine ?
G.P. : Pas encore. Peut-être que je le ferai. Mais pour
l’instant, il n’est pas nécessaire d’en rajouter car
tout le monde est concerné. Le président et l’entraîneur
ont pris la parole pour remettre les choses au point et nous avons bien retenu
la leçon.
Les deux rencontres qui vous
attendent sont capitales. Allez-vous les préparer différemment
?
G.P. : Je ne pense pas qu’il faille changer notre comportement.
Il faut continuer de la même façon en mettant un peu plus d’agressivité.
A ce niveau, nous n’y étions pas ces trois derniers matches. Nous
irons à Caen d’abord pour ne pas perdre. Les laisser à distance
serait déjà une bonne chose. Mais il est également possible
de ramener plus de points. Il s’agit pour l’instant de bien nous
concentrer pour y parvenir.
Qu’a t-il manqué
au FC Metz pour marquer samedi soir ? Est-ce également une question d’agressivité
offensive ?
G.P. : Nous avons manqué d’agressivité
dans toutes les zones, pas seulement en attaque. Beaucoup de phases de jeu nous
ont échappé à cause de ça. Un but nous aurait libéré.
Il y a eu pas mal de ballons dans la surface, des coups de pieds arrêtés
que nous n’avons pas su exploiter. En plus de cela, Revault a été
présent une nouvelle fois. Bref, il ne manquait pas grand chose. Mais
je trouve toutefois que nous n’avons pas été très
bons. En faisant des matches de ce niveau, on ne peut pas prétendre à
beaucoup mieux.