scénario traditionnel "
Les supporters messins vont sans doute dépenser pas
mal de salive pour commenter les dernières secondes de la rencontre. L'arbitre
avait indiqué quatre minutes de temps additionnel. Il accorda un coup-franc
dans le camp rennais. Cech fit monter ses coéquipiers et envoya un long
ballon au coeur de la surface, où se tenaient les vingt et un autres
joueurs. Dans un cafouillage digne de celui qui précéda l'ouverture
du score, Monterrubio trouva la faille. Rennes obtenait un nul mérité,
et le FC Metz court toujours après son deuxième succès
à Saint-Symphorien
Républicain Lorrain :
"Metz n'en voit pas le bout"
Le FC Metz était sur le point de gagner. Sur le point
de tordre le cou à l'insupportable série qui le laisse muet sitôt
qu'il s'exprime à domicile. Sur le point, seulement. Car le Stade Rennais
lui a joué un vilain tour en égalisant dans le temps additionnel,
pour rappeler aux Grenats un scénario vécu lors de leur victoire
sur Montpellier (2-1) et du nul ayant sanctionné la venue de Guingamp
(1-1). Cruel? Peut-être. Immérité? N'exagérons rien.
Football365 : "Monterrubio
assomme Saint-Symphorien"
Les Lorrains ont entamé cette rencontre la peur au ventre
et, malgré l'ouverture du score, n'ont jamais réussi à
se libérer. Seuls Maoulida, omniprésent, et Djiba, particulièrement
remuant, ont tenté de mettre un peu de folie dans le jeu des locaux.
Marchal, comme toute sa défense, a commis beaucoup trop de fautes élémentaires.
Sports.fr : "Metz n'y arrive
pas"
C'est une véritable malédiction qui semble suivre
les Messins lorsqu'ils évoluent à Saint-Symphorien. Les hommes
de Fernandez ont en effet concédé le match nul face à Rennes
(1-1). Des Bretons qui privent les Lorrains d'une deuxième victoire à
domicile en huit rencontres... A l'issue de cette rencontre, Metz gagne une
place au classement pour occuper le seizième strapontin avec 16 points.
Rennes reste quatorzième avec 20 unités.
L’Equipe : "Metz toujours
à la peine"
Les hommes de Jean Fernandez étaient à vingt
secondes de leur deuxième victoire à domicile quand Monterrubio
a égalisé, pour Rennes, plus de quatre minutes après la
fin du temps règlementaire. Jager avait ouvert la marque en première
période, à l'issue du but sans doute le plus hideux depuis le
début du Championnat, une succession de tirs ratés, de contres
balancés et de dégagements dans le tas digne de tous les bêtisiers.
Reste la réalité des chiffres : seizième et quatorzième,
Metz et Rennes peinent beaucoup cette saison.