Républicain Lorrain
Titre : Metz tient la distance
"A l'aller, le point du match nul s'était décidé au-delà
du temps additionnel, par la grâce d'un penalty transformé par
Carteron. Au retour, Saint-Etienne et Metz auraient presque pu se contenter
des cinq premières minutes. Le temps suffisant pour voir les Lorrains
ouvrir la marque puis être rejoints dans la foulée. Ce point, cette
fois-ci, fait quand même l'affaire des Messins, toujours troisièmes
à douze journées et treize matches de la fin. Le bon rythme !"
L'Equipe
Titre : Les Verts n'y arrivent pas
"(...) Alors, progressivement, comme conscient d'avoir laissé passer
sa chance, Metz se repliait déjà bien heureux de ramener un point
du "chaudron". Une tactique qui poussait les Verts à prendre
des initiatives ne s'avérant cependant guère effrayantes. Et Butelle
se régalait de quelques sorties aériennes sans trop frémir.
De quoi finalement rassurer une ancienne formation de l'élite qui n'aspire
qu'à la retrouver cet été et dont les autres résultats
de la soirée la maintiennent sur le podium (troisième place).
La lanterne rouge pour les uns, les feux de la rampe pour les autres."
Le Progrès / Est Républicain
Titre : Metz rate le coche
"« Je redoute l'entame de match des Stéphanois », avait
déclaré Jean Fernandez, l'entraîneur messin. Résultat
? Quarante-cinq secondes après le coup d'envoi, son équipe ouvrait
la marque par Borbiconi qui sautait plus haut que Carteron pour reprendre un
centre de Proment. L'ASSE pouvait difficilement plus mal aborder la rencontre.
Allait-elle accuser le coup ou réagir aussitôt ? Elle opta fort
heureusement pour la deuxième hypothèse. Et signa un but pratiquement
identique à celui inscrit par son adversaire : coup franc de Razac pour
un superbe coup de tête de Hognon. On jouait depuis trois minutes et l'ASSE
était revenue dans le coup."
ASSE.fr (Site officiel)
Titre : Les Verts serrent les points
"(...)Le ton était donné entre deux équipes attirées
par l'avant et qui se rendaient coup pour coup. Le schéma a priori défensif
des Lorrains trahissait des intentions réellement offensives comme ce
coup de tête de Signorino dans le petit filet (8e) et ce raid d'Adebayor
qui devança la sortie de Janot mais manqua la cible (16e)."
"Après cette entame à 100 à l'heure, le rythme s'essouffla.(...)
Petit à petit, les deux organisations semblaient s'effriter par trop
d'approximations techniques. Les minutes étaient plus longues."