style="color: rgb(0, 0, 102);">Cédric Daury
: « Je
suis déçu car mes joueurs n'ont pas obtenu la
récompense de leurs efforts en seconde période.
Nous
avons eu de belles opportunités mais nous nous
étions
au préalable mis dans une situation de réagir et
pas
d'agir. En début de partie, nous étions
crispés
et Metz a su en profiter. J'ai des regrets quant à cette
entame de match. Par la suite, nous avons eu plus d'occasions de but
qu'eux. Christophe Marichez a fait quelques arrêts
très
surprenants. Il nous reste des progrès à faire
pour
réussir à faire pencher la balance en notre
faveur dans
ce genre de rencontre. Metz effectue une série
impressionnante.
Ils la méritent forcément. »
style="color: rgb(153, 0, 0);">Francis De Taddeo
: « Châteauroux
était quatrième avant cette rencontre. Un match
nul
aurait déjà représenté une
belle
opération. Notre adversaire a pris beaucoup de risques pour
revenir dans cette partie et cela nous a posé des
problèmes.
Nous avons eu le bohneur de marquer les premiers, ce qui est souvent
déterminant. D'autant que nous nous appuyons sur un bon
état
d'esprit. Mener au score nous réussit. Durant ce match, tout
le monde s'est sacrifié. Gueye, qui a bossé
défensivement mais aussi Delgado et Agouazi, lorsqu'ils sont
entrés, ou encore Leoni quand je lui ai demandé
de
repasser dans l'axe. De plus, nous avons pu compter sur le soutien de
nos supporters, qui sont venus en nombre. C'est quand même
formidable d'avoir cet appui supplémentaire, cela donne
encore plus envie de s'arracher ! Je tiens à le
souligner. »
style="color: rgb(153, 0, 0);">Christophe Marichez
: « Suite
à notre match face à Tours, j'avais entendu
quelques
remarques désobligeantes concernant notre jeu. Il fallait
remettre les points sur les i. Pour ma part, j'étais
responsable du but encaissé et j'avais envie d'effacer cette
mésaventure. Je pense que nous avons frappé un
gros
coup. Nous voulions montrer que nous étions
également
capables de remporter nos matches face aux mieux classés de
la
L2. La différence s'est faite sur le réalisme
offensif,
puisque nous avons tout de suite trouvé l'ouverture
après
seulement deux ou trois occasions. Tout le monde s'est
arraché.
Nous avions en point de mire la barre des 35 points, ce qui est tout
de même un total inattendu. Maintenant, après 14
journées, on ne peut pas dire non plus que nous nous
rapprochons de la L1. Il faut conserver cette cadence car cela
continue de pousser derrière. »