style="color: rgb(153, 0, 0);">Grégory Proment :
« Cette victoire, nous la devons au discours que le
président a tenu avant le match d’Auxerre. Il nous
a supplié de tout donner, il en avait les larmes aux yeux.
Je pense qu’il faut tout donner pour ce Monsieur. Ce soir,
nous avons gagné avec les tripes, sans faire un grand match.
Cela fait plaisir de rendre les gens heureux. Nous avons encore un
match en retard et nous recevrons Troyes. Alors, pourquoi ne pas y
croire ? »
Ludovic Obraniak
: « Nous entretenons l’espoir, d’autant
que cela stagne au dessus de nous. Ce succès nous fait
beaucoup de bien, c’est la récompense des efforts
fournis ces derniers temps. Nous avons montré, devant les
caméras, que nous n’étions pas des
rigolos et que nous pouvions rivaliser avec les meilleurs. »
Joël Muller :
« Cette victoire fait avant tout du bien aux joueurs. Les
supporters la méritaient. Nous conservons donc un mince
espoir. Il faut garder cet état d’esprit. Nous
avons été plus solides sur le plan
défensif malgré le fait que nous ayons
été mis en difficulté en seconde
période. Nous allons savourer ce succès.
»
Habib Beye
: « Ce but à deux minutes de la fin nous a fait
très mal. Nous n’avons pas su faire la
différence pendant le match et nous ne pouvons nous en
prendre qu’à nous même. Il fallait
marquer, Metz l’a fait. Félicitations à
eux. »
Pape Diouf
: « La déception est réelle. Mais si on
refait le match, on peut être certain d’une chose :
nous avions l’impression que Metz se battait pour la Ligue
des Champions et que nous disputions un match amical. A partir de
là, le résultat me parait conforme à
la logique. Les Messins ont joué comme nous aurions
dû le faire, avec application. »
« Cette victoire, nous la devons au discours que le
président a tenu avant le match d’Auxerre. Il nous
a supplié de tout donner, il en avait les larmes aux yeux.
Je pense qu’il faut tout donner pour ce Monsieur. Ce soir,
nous avons gagné avec les tripes, sans faire un grand match.
Cela fait plaisir de rendre les gens heureux. Nous avons encore un
match en retard et nous recevrons Troyes. Alors, pourquoi ne pas y
croire ? »
Ludovic Obraniak
: « Nous entretenons l’espoir, d’autant
que cela stagne au dessus de nous. Ce succès nous fait
beaucoup de bien, c’est la récompense des efforts
fournis ces derniers temps. Nous avons montré, devant les
caméras, que nous n’étions pas des
rigolos et que nous pouvions rivaliser avec les meilleurs. »
Joël Muller :
« Cette victoire fait avant tout du bien aux joueurs. Les
supporters la méritaient. Nous conservons donc un mince
espoir. Il faut garder cet état d’esprit. Nous
avons été plus solides sur le plan
défensif malgré le fait que nous ayons
été mis en difficulté en seconde
période. Nous allons savourer ce succès.
»
Habib Beye
: « Ce but à deux minutes de la fin nous a fait
très mal. Nous n’avons pas su faire la
différence pendant le match et nous ne pouvons nous en
prendre qu’à nous même. Il fallait
marquer, Metz l’a fait. Félicitations à
eux. »
Pape Diouf
: « La déception est réelle. Mais si on
refait le match, on peut être certain d’une chose :
nous avions l’impression que Metz se battait pour la Ligue
des Champions et que nous disputions un match amical. A partir de
là, le résultat me parait conforme à
la logique. Les Messins ont joué comme nous aurions
dû le faire, avec application. »