Metz - Clermont, je réserve ma place

Parole à l’adversaire

Formé à Auxerre, Pantxi Sirieix s’épanouit à Toulouse. Le milieu de terrain natif de Bordeaux, chargé de la récupération au sein des Violets, nous livre ses impressions sur la rencontre de samedi.
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Que pensez-vous des résultats
du TFC cette saison ? Quels sont les objectifs de fin de saison ?

Pantxi Sirieix : Si on m'avait dit en début de saison
que nous serions sixièmes à égalité avec Auxerre
et proches de disputer une place européenne, je ne l'aurais pas cru.
C'est une situation qui est même au-dessus de mes attentes, ça
nous va très bien ! Maintenant, nous allons prendre les matches les uns
après les autres. Dans cinq journées, nous verrons bien quelle
est notre position. Et ensuite, pourquoi ne pas tenter de s'accrocher le plus
haut possible dans le classement.

Pensez-vous que votre club peut
devenir à terme un club de niveau européen ?

P.S. : Le président met tout en oeuvre pour que le TFC
grandisse et y parvienne. Toulouse est une ville qui se passionne beaucoup pour
le rugby mais je pense qu'il y a de la place pour les deux sports dans cette
ville. Le Stadium est une enceinte magnifique et il y a vraiment tout ici pour
faire un grand club.

Samedi prochain, vous vous rendez
à Metz. Que pensez-vous de la formation lorraine ?

P.S. : C'est une équipe très jeune, pleine d'enthousiasme,
qui a réalisé un très bon début de championnat.
Au mercato, ils ont perdu un joueur essentiel en la personne de Franck Ribery.
Depuis, l’équipe est un peu plus en difficulté mais cela
reste tout de même une bonne formation avec beaucoup de jeunes.

Quel souvenir gardez-vous du
match aller ?

P.S. : Un sentiment un peu mitigé car je me souviens
que nous nous étions fait rejoindre à la marque. Metz avait égalisé
à 10 minutes de la fin de la partie par Ribéry. Nous avions le
match bien en main. Et au final, ce fut deux points de perdus.

Pensez-vous pouvoir compenser
les absences de Moreira et Dalmat, tous deux suspendus ?

P.S. : Les jeunes sont nombreux à pousser derrière.
Ils sont là quand on a besoin d'eux. « Dan » et « Steph
» sont deux pièces essentielles pour nous mais ça ne m'effraie
pas du tout d'aller jouer à Metz sans eux. Cela nous est déjà
arrivé de devoir nous passer d’eux et de remporter le match. (ndlr
: Toulouse - Strasbourg)

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