Metz - Clermont, je réserve ma place

L'été lorrain se poursuit

Des deux derniers de Ligue 2, c\'est Troyes qui a marqué son premier but et ses premiers points. Metz aura l\'occasion de se reprendre vendredi contre Vannes.
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Dans l'espoir de trouver le chemin des filets, Dominique Bijotat multiplie les formules à la pointe de l'attaque depuis le début de saison. Cette fois, Rudy Gestede était suppléé par Youssef Mokhtari, titulaire pour la première fois cette année. Dans un rôle de neuf et demi, l'international marocain était chargé de s'intercaler entre les lignes pour offrir une solution supplémentaire, et d'assurer la dernière (ou l'avant dernière) passe bien entendu.

Sous une pluie d'automne plus que de 15 août, les Grenats commencèrent pourtant par jouer long. Le gabarit de Rudy Gestede s'y prête en effet à merveille. Dans un rôle de pivot, le grand attaquant était à l'origine des premières occasions de la partie. Il déviait ainsi un dégagement de Christophe Marichez dans les pieds de Youssef Mokhtari (6°). La frappe de ce dernier manqua néanmoins de puissance. Dans la foulée, le numéro neuf fut à la réception d'un centre de Kevin Diaz, mais sa reprise fut trop croisée (10°).

Au terme de ce bon quart d'heure lorrain, Ludovic Guerriero s'essaya lui aussi à la frappe. Le Forbachois n'est pas maladroit dans ce domaine. Son ballon fit trembler Blondel, mais fila au dessus de sa transversale (17°). Plutôt dominateurs, les hommes de Dominique Bijotat s'exposaient néanmoins aux contres. Le premier faillit faire mouche, mais Mounir Obbadi, au terme d'une longue course, se manqua face à Christophe Marichez (32°). Metz avait eu très chaud !

La seconde période repartait sur les mêmes bases. Assez peu dangereux, les visiteurs mettaient toutefois de temps en temps le nez à la fenêtre. Ce fut le cas une première fois à l'heure de jeu, mais Julien Faussurier ne parvint pas à conclure (60°). Et si Adama Tamboura (66°) puis Ludovic Guerriero (76°) manquèrent de peu le cadre, l'Italo-Brésilien Marcos Dos Santos connut plus de réussite. Sa frappe de volée, à l'orée de la surface, ne laissa aucune chance à Christophe Marichez (0-1, 78°). Une fois de plus, Metz a n'a pas eu l'efficacité nécessaire pour prendre l'avantage. Et comme l'équipe mosellane n'a pas encore réussi de match sans encaisser de but... elle conserve, seule cette fois, la lanterne rouge.

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