Ce phoenix, s’il en est un, ne renaîtra pas de
ses cendres. Balayés, les brûlis de l'année précédente,
véritable enfer sur gazon pour qui a le sceau de la Croix de Lorraine
forgé au fer rouge sur la peau. L’intersaison, au fil des départs
plus ou moins préjudiciables, a pris des allures de grand ménage.
Si bien qu’aujourd’hui, il ne reste plus grand chose de l’escouade
lancée à l’assaut de la garde troyenne un soir d’anniversaire.
Ce n’est pas la déroute qui les a décimé, mais les
généraux, soucieux de reconstruire un édifice sur de meilleures
bases. Résultat : 16 visages ont disparu, 12 sont apparus.
Du coup, celui du FC Metz 2006/2007 tarde à se dessiner même si
on lui devine quelques traits. Cela ne se fera pas du jour au lendemain, la
plus grande des méfiances devant accompagner le résultat, bon
ou mauvais, que pourront ramener les Grenats de Bourgogne. « Il nous
manque des matches, estime De Taddeo. L’équipe a besoin
d’un vécu commun pour se cimenter. Lors des rencontres de préparation,
nous n’avons jamais été confrontés à des scénarios
inhabituels, qui impliquent une réaction particulière. Pour l’instant,
je trouve que nous avons une capacité à évoluer ensemble
intéressante mais que nous avons du mal à marquer, malgré
une construction plutôt bonne. » Compte tenu de cet état
de fait, l’absence d’Aguirre n’augure rien de bon. Le coach
messin devrait s’en remettre à Papiss Cissé, 1 match en
L1, 0 en L2 et une saison en National.
Même si le recrutement, composé de joueurs d’expérience
dont certains sont rodés à la L2, permet de compenser les départs,
il est difficile d’affirmer pour le moment que cette équipe a les
capacités de remonter en Ligue 1. Il manque une pointe et des références
dans le jeu. « Aujourd’hui, à quoi peut-on prétendre
? Nous n’avons pas encore joué un seul match ! Plutôt que
d’être un mauvais favori, soyons de bons challengers. Ce sont les
résultats qui font les étiquettes et pas l’inverse. »
Pour son entrée en scène, devant les caméras d’Eurosport,
Metz passera déjà un bon test. Gueugnon, onzième l’an
dernier, est une formation typique de L2 qui possède des fondations sur
lesquelles s’appuyer. « Je ressens une pression positive, sourit
De Taddeo. Nous avons envie d’y être. » Y être…
pour en partir plus vite.
ses cendres. Balayés, les brûlis de l'année précédente,
véritable enfer sur gazon pour qui a le sceau de la Croix de Lorraine
forgé au fer rouge sur la peau. L’intersaison, au fil des départs
plus ou moins préjudiciables, a pris des allures de grand ménage.
Si bien qu’aujourd’hui, il ne reste plus grand chose de l’escouade
lancée à l’assaut de la garde troyenne un soir d’anniversaire.
Ce n’est pas la déroute qui les a décimé, mais les
généraux, soucieux de reconstruire un édifice sur de meilleures
bases. Résultat : 16 visages ont disparu, 12 sont apparus.
Du coup, celui du FC Metz 2006/2007 tarde à se dessiner même si
on lui devine quelques traits. Cela ne se fera pas du jour au lendemain, la
plus grande des méfiances devant accompagner le résultat, bon
ou mauvais, que pourront ramener les Grenats de Bourgogne. « Il nous
manque des matches, estime De Taddeo. L’équipe a besoin
d’un vécu commun pour se cimenter. Lors des rencontres de préparation,
nous n’avons jamais été confrontés à des scénarios
inhabituels, qui impliquent une réaction particulière. Pour l’instant,
je trouve que nous avons une capacité à évoluer ensemble
intéressante mais que nous avons du mal à marquer, malgré
une construction plutôt bonne. » Compte tenu de cet état
de fait, l’absence d’Aguirre n’augure rien de bon. Le coach
messin devrait s’en remettre à Papiss Cissé, 1 match en
L1, 0 en L2 et une saison en National.
Même si le recrutement, composé de joueurs d’expérience
dont certains sont rodés à la L2, permet de compenser les départs,
il est difficile d’affirmer pour le moment que cette équipe a les
capacités de remonter en Ligue 1. Il manque une pointe et des références
dans le jeu. « Aujourd’hui, à quoi peut-on prétendre
? Nous n’avons pas encore joué un seul match ! Plutôt que
d’être un mauvais favori, soyons de bons challengers. Ce sont les
résultats qui font les étiquettes et pas l’inverse. »
Pour son entrée en scène, devant les caméras d’Eurosport,
Metz passera déjà un bon test. Gueugnon, onzième l’an
dernier, est une formation typique de L2 qui possède des fondations sur
lesquelles s’appuyer. « Je ressens une pression positive, sourit
De Taddeo. Nous avons envie d’y être. » Y être…
pour en partir plus vite.
1ère journée de
Ligue 2, Gueugnon – Metz
29 juillet 2006 à 17h30
Stade Jean Laville
Arbitre : Monsieur Lannoy