« On ne change pas une équipe qui gagne ».
S’il suit cet adage aussi vieux que le football, Joël Muller reconduira
sans doute le onze qui a participé aux 89 dernières minutes du
derby lorrain samedi. Pour peu, bien sûr, que son capitaine soit jugé
apte au service. Ce matin, Grégory Proment était toujours gêné
par une douleur ramenée de Picot. Samuel Allegro étant seul homme
remis de sa blessure, l’entraîneur lorrain doit composer avec un
effectif quasi-identique à celui de la semaine passée. Ce n’est
peut-être pas une tare, Joël Muller regrettant le manque de régularité
de sa formation. « Ce n’est pas un phénomène
nouveau. L’année passée, l’équipe avait réalisé
un excellent début de saison avant d’éprouver des difficultés.
Durant ces sept premières rencontres, nous avons également alterné
le bon et le moins bon. »
Arrive donc Auxerre et sa cohorte de blessés. Ils sont sept, pour être
précis : Jaurès, Kalabane, Bolf, Martin, Kaboul, Mathis et Benjani.
Le jeune Bacary Sagna, annoncé forfait un peu vite hier, fait finalement
partie du groupe. Dans l’urgence, Jacques Santini l’a rappelé,
faisant fi de la date initialement prévue pour son retour à la
compétition. Diminuée, l’AJA n’en reste pas moins
une formation dangereuse. En battant Ajaccio aux forceps, elle a également
démontré sa pugnacité. « Pour pouvoir gagner
ce soir, estime Muller, il faudra réaliser un meilleur
match que contre Nancy. Auxerre possède tout de même des joueurs
confirmés dans le domaine offensif. Nous ne sommes pas à l’abri
d’un but. »
Il faut marquer, donc. Certes, Sébastien Renouard a mis fin à
une longue période de disette. Mais un seul petit but ne suffit pas toujours
à remporter une rencontre. Au jour d’aujourd’hui, Metz bénéficie
d’une marge de manœuvre étroite. « Il faut absolument
nous améliorer dans le domaine offensif, ajoute Muller. Le
dispositif qu’adoptera Auxerre m’importe peu. Mon souci est de construire
une équipe équilibrée. Nous allons voir si nous sommes
capables de renouveler une prestation d’envergure. Si c’est le cas,
alors, ce sera intéressant pour la suite. »
L’année passée, des Grenats en panne d’efficacité
offensive, avaient fait exploser Auxerre en un quart d’heure, marquant
à trois reprises. On ne leur en demandera pas tant cette fois. «
Les joueurs doivent s’inspirer de ce qu’ils ont fait à Nancy,
garder cette confiance qu’ils n’avaient pas face à Lille
et prendre des initiatives. » Si la jeune garde messine continue
sur cette lancée, elle finira bien par être récompensée.
S’il suit cet adage aussi vieux que le football, Joël Muller reconduira
sans doute le onze qui a participé aux 89 dernières minutes du
derby lorrain samedi. Pour peu, bien sûr, que son capitaine soit jugé
apte au service. Ce matin, Grégory Proment était toujours gêné
par une douleur ramenée de Picot. Samuel Allegro étant seul homme
remis de sa blessure, l’entraîneur lorrain doit composer avec un
effectif quasi-identique à celui de la semaine passée. Ce n’est
peut-être pas une tare, Joël Muller regrettant le manque de régularité
de sa formation. « Ce n’est pas un phénomène
nouveau. L’année passée, l’équipe avait réalisé
un excellent début de saison avant d’éprouver des difficultés.
Durant ces sept premières rencontres, nous avons également alterné
le bon et le moins bon. »
Arrive donc Auxerre et sa cohorte de blessés. Ils sont sept, pour être
précis : Jaurès, Kalabane, Bolf, Martin, Kaboul, Mathis et Benjani.
Le jeune Bacary Sagna, annoncé forfait un peu vite hier, fait finalement
partie du groupe. Dans l’urgence, Jacques Santini l’a rappelé,
faisant fi de la date initialement prévue pour son retour à la
compétition. Diminuée, l’AJA n’en reste pas moins
une formation dangereuse. En battant Ajaccio aux forceps, elle a également
démontré sa pugnacité. « Pour pouvoir gagner
ce soir, estime Muller, il faudra réaliser un meilleur
match que contre Nancy. Auxerre possède tout de même des joueurs
confirmés dans le domaine offensif. Nous ne sommes pas à l’abri
d’un but. »
Il faut marquer, donc. Certes, Sébastien Renouard a mis fin à
une longue période de disette. Mais un seul petit but ne suffit pas toujours
à remporter une rencontre. Au jour d’aujourd’hui, Metz bénéficie
d’une marge de manœuvre étroite. « Il faut absolument
nous améliorer dans le domaine offensif, ajoute Muller. Le
dispositif qu’adoptera Auxerre m’importe peu. Mon souci est de construire
une équipe équilibrée. Nous allons voir si nous sommes
capables de renouveler une prestation d’envergure. Si c’est le cas,
alors, ce sera intéressant pour la suite. »
L’année passée, des Grenats en panne d’efficacité
offensive, avaient fait exploser Auxerre en un quart d’heure, marquant
à trois reprises. On ne leur en demandera pas tant cette fois. «
Les joueurs doivent s’inspirer de ce qu’ils ont fait à Nancy,
garder cette confiance qu’ils n’avaient pas face à Lille
et prendre des initiatives. » Si la jeune garde messine continue
sur cette lancée, elle finira bien par être récompensée.
Metz – Auxerre, 8ème
journée de Ligue 1
Stade Saint-Symphorien, mercredi 21 septembre 2005 à 20h30
Arbitre : Monsieur Poulat
Les groupes
Metz : Agassa, Wimbée - Allegro, Bassong, Béria, Borbiconi, Huszti,
Méniri - Agouazi, Belson, Cherif Touré, Morisot, Proment, Renouard
- Gueye, N'Diaye, Zewlakow
Auxerre : Cool, Hamel – Radet, Mignot, Grichting, Coulibaly, Sagna –
Violeau, Berson, Cheyrou, Kahlenberg, Diaby, Lachuer – Luyindula, Akalé,
Piéroni, Poyet