« Plus nous jouons de rencontres, plus nous
nous rapprochons du terme du championnat. » Joël Muller
a beau pouvoir s’appuyer, à la faveur de trois matches sans défaite,
sur quelques certitudes jamais en sa possession jusqu’à maintenant,
il n’en reste pas moins un entraîneur dépourvu de points.
En effet, la bonne passe de ses hommes ne peut suffire à le rassurer
complètement pour l’instant. Avant derniers avec un succès
en seize matches, les Grenats sont toujours dans une situation d’absolue
nécessité. Et les confrontations de cette dix-septième
journée renforce la délicatesse de cette position. Dans le mini-championnat
que se livrent les équipes de queue auront lieu plusieurs ‘chocs’
: Metz – Toulouse, Strasbourg – Sochaux et Ajaccio – Troyes.
Ce sont les six dernières équipes de Ligue 1 qui s’affronteront
samedi soir. Autant dire que les choses pourraient prendre un virage inquiétant.
« Les autres matches n’auront d’importance que si
nous remportons notre propre rencontre, estime le coach lorrain. Il
nous reste trois matches avant la trêve. A nous de préserver l’espoir
du maintien en prenant six points. » Malheureusement pour le
technicien, Mehdi Méniri ne devrait pas pouvoir tenir sa place. Souffrant
d’une lombalgie aiguë, le défenseur cédera vraisemblablement
sa place à Carl Medjani. Le replacement de ce dernier serait certes comblé
par le retour de Dino Djiba, mais Joël Muller ne voit pas les choses de
cette manière. « Medjani et Borbiconi n’ont jamais
joué côte à côte, regrette t-il. C’est
toujours embêtant d’être contraint de modifier sa charnière
centrale de la sorte. »
Eric Mombaerts, quant à lui, a des soucis sur les ailes de son arrière
garde. Son meilleur passeur Ebondo et son dernier latéral gauche Jeremy
Mathieu seront tous deux absents. Au milieu de terrain, Cardy est également
forfait en raison d’une entorse. La formation toulousaine a tout de même
de quoi inquiéter les Grenats, notamment dans le domaine offensif. Sa
seizième place au classement représente d’ailleurs une énigme
pour nombre d’observateurs extérieurs. Avec un recrutement des
plus actifs, le TFC semblait être en mesure de viser le haut de tableau.
« Si nous en sommes à cette position, c’est sans
doute que nous ne méritons pas mieux, estime Christophe Revault.
Nous avons du mal à enchaîner les bons résultats. Le classement
n’est pas à la hauteur de nos espérances mais la saison
n’est pas terminée et nous y croyons encore. L’année
passée, des équipes comme Lens ou Saint-Etienne étaient
à notre niveau à la même période et elles avaient
mieux fini la saison. » Le capitaine des Violets fait partie,
avec Arribagé, des joueurs d’expérience qui encadrent la
jeunesse toulousaine. En attendant de viser plus haut, il espère que
ce déplacement en Lorraine contribuera à « se mettre
au plus vite à l’abris de la relégation ».
Sur les bords de la Moselle, cela devrait prendre bien plus de temps. Pour commencer,
le FC Metz doit déjà s’attacher à faire perdurer
l’espoir jusqu’à la trêve. Il faut y croire. Après
tout, un dragon doit bien être capable d’entretenir une flamme…
nous rapprochons du terme du championnat. » Joël Muller
a beau pouvoir s’appuyer, à la faveur de trois matches sans défaite,
sur quelques certitudes jamais en sa possession jusqu’à maintenant,
il n’en reste pas moins un entraîneur dépourvu de points.
En effet, la bonne passe de ses hommes ne peut suffire à le rassurer
complètement pour l’instant. Avant derniers avec un succès
en seize matches, les Grenats sont toujours dans une situation d’absolue
nécessité. Et les confrontations de cette dix-septième
journée renforce la délicatesse de cette position. Dans le mini-championnat
que se livrent les équipes de queue auront lieu plusieurs ‘chocs’
: Metz – Toulouse, Strasbourg – Sochaux et Ajaccio – Troyes.
Ce sont les six dernières équipes de Ligue 1 qui s’affronteront
samedi soir. Autant dire que les choses pourraient prendre un virage inquiétant.
« Les autres matches n’auront d’importance que si
nous remportons notre propre rencontre, estime le coach lorrain. Il
nous reste trois matches avant la trêve. A nous de préserver l’espoir
du maintien en prenant six points. » Malheureusement pour le
technicien, Mehdi Méniri ne devrait pas pouvoir tenir sa place. Souffrant
d’une lombalgie aiguë, le défenseur cédera vraisemblablement
sa place à Carl Medjani. Le replacement de ce dernier serait certes comblé
par le retour de Dino Djiba, mais Joël Muller ne voit pas les choses de
cette manière. « Medjani et Borbiconi n’ont jamais
joué côte à côte, regrette t-il. C’est
toujours embêtant d’être contraint de modifier sa charnière
centrale de la sorte. »
Eric Mombaerts, quant à lui, a des soucis sur les ailes de son arrière
garde. Son meilleur passeur Ebondo et son dernier latéral gauche Jeremy
Mathieu seront tous deux absents. Au milieu de terrain, Cardy est également
forfait en raison d’une entorse. La formation toulousaine a tout de même
de quoi inquiéter les Grenats, notamment dans le domaine offensif. Sa
seizième place au classement représente d’ailleurs une énigme
pour nombre d’observateurs extérieurs. Avec un recrutement des
plus actifs, le TFC semblait être en mesure de viser le haut de tableau.
« Si nous en sommes à cette position, c’est sans
doute que nous ne méritons pas mieux, estime Christophe Revault.
Nous avons du mal à enchaîner les bons résultats. Le classement
n’est pas à la hauteur de nos espérances mais la saison
n’est pas terminée et nous y croyons encore. L’année
passée, des équipes comme Lens ou Saint-Etienne étaient
à notre niveau à la même période et elles avaient
mieux fini la saison. » Le capitaine des Violets fait partie,
avec Arribagé, des joueurs d’expérience qui encadrent la
jeunesse toulousaine. En attendant de viser plus haut, il espère que
ce déplacement en Lorraine contribuera à « se mettre
au plus vite à l’abris de la relégation ».
Sur les bords de la Moselle, cela devrait prendre bien plus de temps. Pour commencer,
le FC Metz doit déjà s’attacher à faire perdurer
l’espoir jusqu’à la trêve. Il faut y croire. Après
tout, un dragon doit bien être capable d’entretenir une flamme…
Metz – Toulouse, 17ème
journée de Ligue 1
Samedi 3 décembre à 20h, Stade Saint-Symphorien
Arbitre : Monsieur Kalt
Les groupes :
Metz : Wimbée, Agassa - Bassong, Méniri,
Medjani, Borbiconi, Béria, Bong - Djiba, Proment, Ouadah, Obraniak, Renouard
- Ahn, Tum, Gueye, Zewlakow
Toulouse : Revault, Douchez, Congré, Arribagé,
Aubey, Bedimo, Dieuze, Emana, Batlles, Bergougnoux, Mansaré, Moreira,
Giresse, Lievre, Dao, Abdessadki, Bonnet, Santos