L’entraîneur des Grenats affichait la mine des
mauvais jours, ce matin, à l’issue du décrassage. Mais ce
n’est pas la vue des images, qui confirment la validité de l’égalisation
d’Hervé Tum, qui en est la cause. Si l’ancien mentor de Sochaux
n’est pas dans son assiette, c’est parce qu’il a la désagréable
sensation qu’hier, quelques uns de ses hommes n’y étaient pas
sur le plan mental. « Certains sont passés à côté
de leur match car il n’y étaient pas dans l’esprit,
commentait-il. Pendant les vingt premières minutes, nous n’avons
pas gagné un duel. Depuis la trêve, je pense que c’est notre
plus mauvais match. »
Ce qui fait la force et la réputation de sa formation a donc en partie
disparu le temps d’un match. C’est également la condition
sine qua non à l’obtention du maintien, qui plus est lorsqu’on
est un groupe jeune, en apprentissage, ne possédant pas de Santos ou
d’Ilan pour rendre les matches faciles ! Les décisions arbitrales
litigieuses, dont la plus lourde de conséquence aurait pu permettre à
Metz d’égaliser, ne retiennent pas l’attention du technicien
lorrain outre mesure : « Sur le coup, j’étais trop
loin pour juger s’il y avait faute ou pas. En regardant les images, on
s’aperçoit qu’il n’y avait aucune charge sur Teddy
Richert. Mais cela n’est qu’une péripétie qui aurait
pu nous permettre de prendre un point. Il n’y a pas de regrets à
avoir car nous avons été moins bons que Sochaux. Ils n’étaient
pas au meilleur de leur forme et nous aurions pu ramener des points en jouant
autrement. »
Le discours du coach a tout d’un coup de sonnette d’alarme. Mais
l’échéance qui attend désormais le FC Metz justifie
complètement ce discours. Dès samedi, les Corses de Bastia chercheront
à se relancer dans la course au maintien en triomphant des Grenats. Ils
aborderont cette rencontre avec une épée de Damoclès au
dessus de la tête. Le contexte sera forcément défavorable
aux Lorrains. « C’est un match très important,
estime Fernandez. Après nous avoir reçu, Bastia se déplacera
à deux reprises. S’ils ne réalisent pas un bon résultat
contre nous, ils auront beaucoup de mal à se relever. Pour eux, la victoire
est obligatoire. Ils sont à domicile, contre une équipe concurrente
et moins expérimentée. Nous devrons retrouver notre état d'esprit pour faire une bonne opération. » Le décor est planté.
Pas sûr que l’Île de Beauté soit le théâtre
d’une jolie rencontre ce samedi.
mauvais jours, ce matin, à l’issue du décrassage. Mais ce
n’est pas la vue des images, qui confirment la validité de l’égalisation
d’Hervé Tum, qui en est la cause. Si l’ancien mentor de Sochaux
n’est pas dans son assiette, c’est parce qu’il a la désagréable
sensation qu’hier, quelques uns de ses hommes n’y étaient pas
sur le plan mental. « Certains sont passés à côté
de leur match car il n’y étaient pas dans l’esprit,
commentait-il. Pendant les vingt premières minutes, nous n’avons
pas gagné un duel. Depuis la trêve, je pense que c’est notre
plus mauvais match. »
Ce qui fait la force et la réputation de sa formation a donc en partie
disparu le temps d’un match. C’est également la condition
sine qua non à l’obtention du maintien, qui plus est lorsqu’on
est un groupe jeune, en apprentissage, ne possédant pas de Santos ou
d’Ilan pour rendre les matches faciles ! Les décisions arbitrales
litigieuses, dont la plus lourde de conséquence aurait pu permettre à
Metz d’égaliser, ne retiennent pas l’attention du technicien
lorrain outre mesure : « Sur le coup, j’étais trop
loin pour juger s’il y avait faute ou pas. En regardant les images, on
s’aperçoit qu’il n’y avait aucune charge sur Teddy
Richert. Mais cela n’est qu’une péripétie qui aurait
pu nous permettre de prendre un point. Il n’y a pas de regrets à
avoir car nous avons été moins bons que Sochaux. Ils n’étaient
pas au meilleur de leur forme et nous aurions pu ramener des points en jouant
autrement. »
Le discours du coach a tout d’un coup de sonnette d’alarme. Mais
l’échéance qui attend désormais le FC Metz justifie
complètement ce discours. Dès samedi, les Corses de Bastia chercheront
à se relancer dans la course au maintien en triomphant des Grenats. Ils
aborderont cette rencontre avec une épée de Damoclès au
dessus de la tête. Le contexte sera forcément défavorable
aux Lorrains. « C’est un match très important,
estime Fernandez. Après nous avoir reçu, Bastia se déplacera
à deux reprises. S’ils ne réalisent pas un bon résultat
contre nous, ils auront beaucoup de mal à se relever. Pour eux, la victoire
est obligatoire. Ils sont à domicile, contre une équipe concurrente
et moins expérimentée. Nous devrons retrouver notre état d'esprit pour faire une bonne opération. » Le décor est planté.
Pas sûr que l’Île de Beauté soit le théâtre
d’une jolie rencontre ce samedi.