Tout a commencé par une histoire de penalty. Après
que Leca, d’une belle percée dans le camp adverse, et Ilan, manquant
de profiter d’un ballon boxé dans l’axe par Wimbée,
aient ouvert les hostilités. Dès la onzième minute, une
passe hasardeuse de Grégory Proment parvenait à Jeremy Mathieu.
Lancé plein gaz, le milieu de terrain local prenait de vitesse l’arrière-garde
lorraine et Caillet semblait commettre l’irréparable. Le numéro
neuf sochalien convertissait la sentence bien que le portier messin soit parti
du bon côté (1-0, 12°).
Les Messins paraissaient alors bien mal engagés. Et heureusement pour
eux, ils allaient rétablir l’équilibre dans la foulée.
Signorino trouvait Gueye dans la surface. Ce dernier subissait une charge illicite
de Diawara. Le capitaine des Grenats se chargeait alors de remettre les pendules
à l’heure tout en se rachetant de sa fatale imprécision.
Richert subissait le même sort que son homologue, le cuir lui glissait
au bout des doigts (1-1, 15°). Et les deux équipes étaient
de nouveau dos à dos à l’issue du premier quart d’heure.
Si les Sochaliens dominaient la fin du premier acte, cela n’empêchait
pas les Grenats de sortir régulièrement et proprement. Ainsi,
on voyait Franck Signorino donner un bon ballon à Ivan. Mais le Serbe
manquait sa reprise (34°). Auparavant, une frappe de Santos avait terminé
sa course sur la transversale. Le petit tunisien, en grande forme, n’en
resta malheureusement pas là.
Au retour des vestiaires, le diabolique attaquant doubiste mettait à
nouveau le feu dans la défense lorraine. Isabey n’en profitait
pas (48°). Et la frappe lourde Mathieu n’était pas cadrée
(50°). La réponse des Messins venait une fois de plus du côté
de gauche de Franck Signorino. Son centre du droit trouvait la tête de
Tum. Bonal se taisait et voyait avec soulagement le cuir passer à côté.
Malgré cette occasion, les hommes de Fernandez commençaient tout
de même à subir clairement le jeu. Les offensives locales se faisaient
de plus en plus nombreuses. Et si Wimbée retardait l’échéance
à maintes reprises (55°, frappe à bout portant d’Ilan
; 58°, sur Santos), Ilan finissait par donner l’avantage aux siens
d’une frappe contrée au point de penalty (2-1, 59°). Metz tentait
bien, en fin de match, de revenir en mettant beaucoup d’engagement dans
les duels. Mais Sochaux allait bénéficier d’un léger
coup de pouce pour mettre fin à la série d’invincibilité
du Club à la Croix de Lorraine. Un but d’Hervé Tum était
refusé dans les arrêts de jeu pour une prétendue charge sur Richert.
Si l’action était confuse, la faute n’en était pas
plus évidente et l’égalisation eut sans doute été
validée sans aucun problème outre Manche. Les Lorrains pouvaient
au final nourrir quelques regrets, bien que les nombreuses occasions que se
sont procurées les Lionceaux en début de seconde période
légitiment amplement leur succès !
que Leca, d’une belle percée dans le camp adverse, et Ilan, manquant
de profiter d’un ballon boxé dans l’axe par Wimbée,
aient ouvert les hostilités. Dès la onzième minute, une
passe hasardeuse de Grégory Proment parvenait à Jeremy Mathieu.
Lancé plein gaz, le milieu de terrain local prenait de vitesse l’arrière-garde
lorraine et Caillet semblait commettre l’irréparable. Le numéro
neuf sochalien convertissait la sentence bien que le portier messin soit parti
du bon côté (1-0, 12°).
Les Messins paraissaient alors bien mal engagés. Et heureusement pour
eux, ils allaient rétablir l’équilibre dans la foulée.
Signorino trouvait Gueye dans la surface. Ce dernier subissait une charge illicite
de Diawara. Le capitaine des Grenats se chargeait alors de remettre les pendules
à l’heure tout en se rachetant de sa fatale imprécision.
Richert subissait le même sort que son homologue, le cuir lui glissait
au bout des doigts (1-1, 15°). Et les deux équipes étaient
de nouveau dos à dos à l’issue du premier quart d’heure.
Si les Sochaliens dominaient la fin du premier acte, cela n’empêchait
pas les Grenats de sortir régulièrement et proprement. Ainsi,
on voyait Franck Signorino donner un bon ballon à Ivan. Mais le Serbe
manquait sa reprise (34°). Auparavant, une frappe de Santos avait terminé
sa course sur la transversale. Le petit tunisien, en grande forme, n’en
resta malheureusement pas là.
Au retour des vestiaires, le diabolique attaquant doubiste mettait à
nouveau le feu dans la défense lorraine. Isabey n’en profitait
pas (48°). Et la frappe lourde Mathieu n’était pas cadrée
(50°). La réponse des Messins venait une fois de plus du côté
de gauche de Franck Signorino. Son centre du droit trouvait la tête de
Tum. Bonal se taisait et voyait avec soulagement le cuir passer à côté.
Malgré cette occasion, les hommes de Fernandez commençaient tout
de même à subir clairement le jeu. Les offensives locales se faisaient
de plus en plus nombreuses. Et si Wimbée retardait l’échéance
à maintes reprises (55°, frappe à bout portant d’Ilan
; 58°, sur Santos), Ilan finissait par donner l’avantage aux siens
d’une frappe contrée au point de penalty (2-1, 59°). Metz tentait
bien, en fin de match, de revenir en mettant beaucoup d’engagement dans
les duels. Mais Sochaux allait bénéficier d’un léger
coup de pouce pour mettre fin à la série d’invincibilité
du Club à la Croix de Lorraine. Un but d’Hervé Tum était
refusé dans les arrêts de jeu pour une prétendue charge sur Richert.
Si l’action était confuse, la faute n’en était pas
plus évidente et l’égalisation eut sans doute été
validée sans aucun problème outre Manche. Les Lorrains pouvaient
au final nourrir quelques regrets, bien que les nombreuses occasions que se
sont procurées les Lionceaux en début de seconde période
légitiment amplement leur succès !
La feuille de match
27ème journée de Ligue (match en retard), Sochaux - Metz : 2-1
(1-1)
Stade Bonal, le 16 mars 2005
Arbitre : Monsieur Auriac
13013 specateurs
Les avertissements
Metz : Caillet (11°), Avezac (73°), Méniri
(92°), Proment (93°)
Les buts
Sochaux : Ilan (11°, sp ; 59°)
Metz : Proment (15°, sp)
Les équipes
Sochaux : Richert – Potillon (Peisley 51°,
Zaïri 89°), Diawara, Monsoreau, Tall – Mathieu, Pitau, Lonfat,
Isabey – Ilan (Oruma 71°), Santos
Metz : Wimbée – Signorino, Méniri,
Borbiconi, Caillet – Gvozdenovic (Avezac 45°), Proment, Leca (Socrier
81°)– Gueye (Contout 73°), Tum, Ogbeche